Dans la langue courante, il y a beaucoup de locutions, par la bouche de parent, qui permettent de battre les élèves aux enseignants.
Pendant centaines années, c'était très normal. Les parents avait eu un air comme '' Si vous calculez ou bien si vous connaissez l'histoire, vous pouvez battre mon enfant. ,,
Il y avait peu d'enseignant. Ils étaient demi-dieus.
Heureusement, cette époque est finie.
C'est le tour des élèves! N'est-ce pas?
Non, définitivement non. La violance à l'école, ni physiquement ni psychologiquement, est inacceptable.
Puis, il y a déjà des enseignants qui battent les enseignants.
L'année derniere, au lycée Anatolian de Buca, le directeur a frappé une enseignante. À dire vrai, elle est allée au hopitâl pour ne pas faire se vérifier cette violance mais aussi pour sa vie.
C'est pourquoi on doit parler de la violance totalement.
La violance à la femme, la violance au collège... Ceux sont tous violance.
Et, contre la violance, il faut être pour l'amour.
Parce que, malheureusement, la violance est partout; l'amour est nulpart.
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